
ehlilouswritings, Posté le vendredi 09 février 2018 01:41
Encore une fois très intense. Tout ce parcours lent que tu nous montres de Alaric, ses pensées profondes, des envies, ses craintes, ses folies aussi (car il en a de toute évidence) et malheureusement, le quotidien difficile qui est le sien, alors qu'il se rattache seulement à cette petite chaussette bleue oubliée dans un double fond de tiroir, ou auprès de Dylan qui l'apprécie mais qui ne saura peut-être jamais combien les sentiments d'Alaric pour lui sont plus poussés. Je ne reviendrai pas sur la mise en page et forme, tu sais déjà ce que j'en pense, mais bravo. Cela prend les tripes malgré tout !
Far-Away-From-Home, Posté le mercredi 24 janvier 2018 04:46
Coucou :)
Je m'excuse de ne passer que maintenant, et j'en profite pour te souhaiter à mon tour une très bonne année 2018. J'aime beaucoup ce deuxième chapitre ! Tu as vraiment un style bien à toi et c'est très plaisant. J'adore toutes ces anaphores, ces phrases à rallonge, ces répétions qui donnent un style bien particulier que j'adore ! Alors bravo pour ça déjà. Et ensuite, j'aime l'histoire en elle-même. Tu arrives à captiver ton lecteur avec que de la narration déjà, c'est vraiment un grand défi. Et j'aime beaucoup le titre qui porte sur tout le chapitre.
Sinon je suis d'accord avec Alaric, c'est important de penser. Je pense beaucoup trop aussi haha.
Allez bisous, à très vite peut-être <3
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Les-Ecrire, Posté le jeudi 22 février 2018 07:39
Coucou ! :)
J'ai repéré quelques petites coquilles, je me permets de te les souligner :
Un matin sur deux il oublie ses gants dans sont tiroir --> son
Alaric il a l'habitude parce que quand il loupe pas son arrêt il loupe sont bus --> son
ça tient dans le creux de sa grande peluche toute sèche et froide --> paluche
pour rien au monde il irait voir un de ses ballets --> ces
elle a un T-shirt trop grand et une clope ente les dents --> entre
peut être qu'il y aura un ½il perdu et crever dans la bataille. --> crevé
non elles sont normale parce que Alaric il a couru --> normales
Alaric ça le fous en rogne ça parce que c'est de ça qu'elle est morte sa tante Nina --> ça le fout en rogne
et puis quand il arrive à la hauteur Alaric --> d'Alaric
surtout qu'il a pas laisser penser qu'il était bizarre --> laissé penser
à être à quelques centimètres de lui dans lui sauter dessus et l'embrasser --> sans lui sauter dessus
En fait, ce qu'il y a de particulier dans ta narration, c'est qu'elle fait des boucles. D'un point A tu nous emmènes à un point B qui repasse par le point B puis un sujet C apparaît, mais ce sujet C a un point avec le sujet B et ainsi de suite. On avance par boucle et à chaque fin de phrase on se dit que la boucle est bouclée. C'est assez intéressant parce que, certes, ton schéma est répétitif, mais on ne fait pas du sur-place. Et pour le coup c'est vraiment bien joué ! On ne s'y perd pas.
L'idée du tiroir aussi, à un moment je me suis demandée s'il était vraiment devant son tiroir en train de regarder dedans (avant d'avoir la confirmation que oui) ou s'il était devant son arrêt de bus, figé dans ses pensée et laissant passer son bus.
On en connaît un peu plus sur Alaric, mais pas trop. Bah, faut bien que ça fasse son petit bonhomme de chemin !